Opérateurs SSG - Forces Armées Suédoises
Inspiration et origines
Le Recondo Sqvad est inspiré par les escadrons de reconnaissance Särskilda Skyddsgruppen,
des Försvarsmakten, Forces Armées du Royaume de Suède.
Särskilda Skyddsgruppen
(Groupe de Protection Spéciale, SSG) est une unité d'opération spéciale de l'armée suédoise activée en 1994. Elle a fusionné avec le SIG en une seule et même unité, le SOG, courant 2011. Le nombre exact d'opérateurs actif était classifié mais il est probable qu'il était entre 60 et 80, avec un age moyen de 31 ans. SSG pouvait être déployé pour remplir des missions spécifiques, très encadrées et souvent placée dans des crénaux de temps critiques, ne pouvant être réalisées par l'usage de forces conventionnelles.
Les types de missions prises en charge par SSG étaient d'engager et détruire des cible à haute valeur stratégique, de secourir des personnels capturés par l'ennemi ou maintenus en otages, et de fournir du renseignement de terrain. Les missions de SSG requéraient de la part de ses opérateurs de s'infiltrer et de se déplacer en territoire ennemi puis de rester indétectables pendant de longues périodes.
Recrutement et entraînement
SSG recrutait son personnel au sein des officiers des trois branches militaires, mais surtout de K3 (Rangers Parachutistes / Rangers Aéroportés) et des Kustjägarna (Rangers côtiers). Chaque aspirant devait réussir un exténuant processus de sélection de deux semaines. Avant que les sélections ne débutent, les aspirants étaient convoqués à deux journées de pré-sélection, pendant lesquelles ils étaient testés et informés du degré d'échec ou de réussite, ainsi que sur la manière de s'améliorer. La sélection proprement dite ne pouvait être tentée qu'une seule fois, sauf si des circonstances atténuantes expliquaient l'échec de l'aspirant.
A cause de son niveau de classification, le temps employé pour entraîner une recrue n'a pas été rendu public par SSG, mais selon le site des forces armées, l'entraînement d'un opérateur standard prenait plus d'un an. Chaque soldat recevait une formation commune, incluant parachutisme, plongée sous-marine, et protection de VIP. En tant qu'opérateur, il recevait également une formation spécifique couvrant plusieurs domaines, comme le parachutisme HAHO/HALO, la manipulation des explosifs, les premiers secours, le tir de précision et la manipulation d'armements spéciaux. Un opérateur SSG avait la capacité à s'insérer et s'extraire de plusieurs manières : à pied, en parachute, en plongée, par bateau et véhicule.
Les candidats des deux sexes étaient acceptés, et les femmes devaient répondre aux même normes que les hommes.
L'entraînement avait souvent lieu dans d'autres pays que la Suède, et des exercices conjoints avec les forces spéciales d'autres pays étaient fréquents.
Histoire
Pendant sa période d'activité, une partie de l'unité etait toujours maintenue en état d'alerte en cas de situation d'urgence en Suède. L'unité a également été déployée en Afghanistan en appui du groupe FIAS (ISAF) de l'OTAN, responsable de la sécurité à Kabul et dans d'autres zones, et au Congo sous commandement Français, où elle a engagé les forces ennemies plusieurs fois sans aucune perte dans leurs rangs durant l'Opération Artémis.
Le 25 Novembre 2005, quatre opérateurs SSG ont été blessés durant une mission de reconnaissance dans le nord de l'Afghanistan. Le Löjtnant Jesper Lindblom est mort par suite de ses blessures, et le Löjtnant Thomas Bergsvist est mort après avoir été transporté en avion dans un hôpital en Europe le 9 Décembre 2005.
En 2008, SSG et SIG Särskilda Inhämtningsgruppen (Groupe spécial de Reconnaissance) ont été déployés au Tchad, pour préparer la participation des Rangers suédois à l'EUFOR.
Évolution
Courant 2011, SSG et SIG ont fusionné en une seule unité : SOG, Särskilda Operationsgruppen (Groupe des Opérations Spéciales).
Les types de missions prises en charge par SSG étaient d'engager et détruire des cible à haute valeur stratégique, de secourir des personnels capturés par l'ennemi ou maintenus en otages, et de fournir du renseignement de terrain. Les missions de SSG requéraient de la part de ses opérateurs de s'infiltrer et de se déplacer en territoire ennemi puis de rester indétectables pendant de longues périodes.
Recrutement et entraînement
SSG recrutait son personnel au sein des officiers des trois branches militaires, mais surtout de K3 (Rangers Parachutistes / Rangers Aéroportés) et des Kustjägarna (Rangers côtiers). Chaque aspirant devait réussir un exténuant processus de sélection de deux semaines. Avant que les sélections ne débutent, les aspirants étaient convoqués à deux journées de pré-sélection, pendant lesquelles ils étaient testés et informés du degré d'échec ou de réussite, ainsi que sur la manière de s'améliorer. La sélection proprement dite ne pouvait être tentée qu'une seule fois, sauf si des circonstances atténuantes expliquaient l'échec de l'aspirant.
A cause de son niveau de classification, le temps employé pour entraîner une recrue n'a pas été rendu public par SSG, mais selon le site des forces armées, l'entraînement d'un opérateur standard prenait plus d'un an. Chaque soldat recevait une formation commune, incluant parachutisme, plongée sous-marine, et protection de VIP. En tant qu'opérateur, il recevait également une formation spécifique couvrant plusieurs domaines, comme le parachutisme HAHO/HALO, la manipulation des explosifs, les premiers secours, le tir de précision et la manipulation d'armements spéciaux. Un opérateur SSG avait la capacité à s'insérer et s'extraire de plusieurs manières : à pied, en parachute, en plongée, par bateau et véhicule.
Les candidats des deux sexes étaient acceptés, et les femmes devaient répondre aux même normes que les hommes.
L'entraînement avait souvent lieu dans d'autres pays que la Suède, et des exercices conjoints avec les forces spéciales d'autres pays étaient fréquents.
Histoire
Pendant sa période d'activité, une partie de l'unité etait toujours maintenue en état d'alerte en cas de situation d'urgence en Suède. L'unité a également été déployée en Afghanistan en appui du groupe FIAS (ISAF) de l'OTAN, responsable de la sécurité à Kabul et dans d'autres zones, et au Congo sous commandement Français, où elle a engagé les forces ennemies plusieurs fois sans aucune perte dans leurs rangs durant l'Opération Artémis.
Le 25 Novembre 2005, quatre opérateurs SSG ont été blessés durant une mission de reconnaissance dans le nord de l'Afghanistan. Le Löjtnant Jesper Lindblom est mort par suite de ses blessures, et le Löjtnant Thomas Bergsvist est mort après avoir été transporté en avion dans un hôpital en Europe le 9 Décembre 2005.
En 2008, SSG et SIG Särskilda Inhämtningsgruppen (Groupe spécial de Reconnaissance) ont été déployés au Tchad, pour préparer la participation des Rangers suédois à l'EUFOR.
Évolution
Courant 2011, SSG et SIG ont fusionné en une seule unité : SOG, Särskilda Operationsgruppen (Groupe des Opérations Spéciales).
Source : Wikipédia