OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
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six pack
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Scrat
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lurp
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Re: OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
moa...j'vais plus croire à rien...certe Kévin tu as prit 2 centimetres de boite cranienne supplementaire!
Vinpaco- [Sqvad] Sergeant
Re: OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
3 mois après Nytro arrive sur le forum....
Coucou sympa la randonnée, et oui blood je suis un garçon sentimental, je n'aurai pu faire cette mission sans ma casquette avec le logo si bien "brodé" dessus
Bon j'ai rien à rajouté, on a fait ce qu'on devait faire, deçu du manque de fairplay de l'equipe adverse mais ce fut une très bonne experience que je renouvellerai l'année prochaine (si je suis pas déjà à Bagdad ^^)
Ps : Pour l'année prochaine j'aimerai disposer d'une drône prédator svp
Merci
Le co-président de la TZN
Coucou sympa la randonnée, et oui blood je suis un garçon sentimental, je n'aurai pu faire cette mission sans ma casquette avec le logo si bien "brodé" dessus
Bon j'ai rien à rajouté, on a fait ce qu'on devait faire, deçu du manque de fairplay de l'equipe adverse mais ce fut une très bonne experience que je renouvellerai l'année prochaine (si je suis pas déjà à Bagdad ^^)
Ps : Pour l'année prochaine j'aimerai disposer d'une drône prédator svp
Merci
Le co-président de la TZN
Nytro
Re: OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
YEAH !!!!! Ca fait plaisir de te retrouver sur le forum ! un grand bravo en direct du coup, ce que vous avez fait c'était du beau foutage de bordel bien en règle ! Et respect pour l'effort, quand j'ai vu ce que vous vous êtes tapés, c'était pas rien
Re: OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
Strike a écrit:YEAH !!!!! Ca fait plaisir de te retrouver sur le forum ! un grand bravo en direct du coup, ce que vous avez fait c'était du beau foutage de bordel bien en règle ! Et respect pour l'effort, quand j'ai vu ce que vous vous êtes tapés, c'était pas rien
Merci, merci
C'est clair que on a foutu du bordel.......
Sinon pour l'effort c'etait que du bonheur et surtout qu'un dixième de ce que vous vous avez fait... Mais pour en arriver à la meme scène finale.... mdr
Au plaisir et à bientôt
Nytro
Re: OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
Nytro a écrit:Au plaisir et à bientôt
J'espère bien !
Re: OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
Strike a écrit:Nytro a écrit:Au plaisir et à bientôt
J'espère bien !
Ben je suis officiellement revenu sur la côte d'azur ce week end après 8 mois à AIx en Provence...
Donc y a plus de raison que je sois pas là avec gaz et mad pour les operations tuerie de zombies
Nytro
Re: OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
Nytro a écrit:Strike a écrit:Nytro a écrit:Au plaisir et à bientôt
J'espère bien !
Ben je suis officiellement revenu sur la côte d'azur ce week end après 8 mois à AIx en Provence...
Donc y a plus de raison que je sois pas là avec gaz et mad pour les operations tuerie de zombies
V'la qui est une bonne nouvelle!
J'en profite également pour tirer mon chapeau en direct live en reconnaissance du super boulot que tu as fais sur SH...
Je te dis donc à bientôt en chair et en os
oDn- [Sqvad] Sergeant
Re: OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
Nytro a écrit:Strike a écrit:Nytro a écrit:Au plaisir et à bientôt
J'espère bien !
Ben je suis officiellement revenu sur la côte d'azur ce week end après 8 mois à AIx en Provence...
Donc y a plus de raison que je sois pas là avec gaz et mad pour les operations tuerie de zombies
Coucou Nytroooo !!
Fait plaisir de te revoir par ici, on a pas pu se voir à la derniere partie mais on va ratrapper ça !
Au plaisir de te retrouver sur un terrain ou autour d'une bonne bière
Roog.- [Sqvad Veteran] Förste Sergeant
Re: OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
Yep ! Merci à tous
Et Roog aucun soucis pour la bière, avec ma manière de regarder les gens tu te souviens ?? mdr
Et au faite.... toi ancien passionné de voiture... Je viens d'acquerir une automobile d'exception.... je te laisse deviner...
Pour t'aider... Elle à un V8 5.0L de 400cv sous le capot...
Et Roog aucun soucis pour la bière, avec ma manière de regarder les gens tu te souviens ?? mdr
Et au faite.... toi ancien passionné de voiture... Je viens d'acquerir une automobile d'exception.... je te laisse deviner...
Pour t'aider... Elle à un V8 5.0L de 400cv sous le capot...
Nytro
Re: OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
Strike a écrit:Nytro a écrit:V8 5.0L de 400cv
Nytro
Re: OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
Journal de bord de Dynamite
- Opération Sledge Hammer -
Juillet 2010
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- Opération Sledge Hammer -
Juillet 2010
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Vendredi 2 Juillet 2010. Il est 20h30. Nous nous retrouvons à Nice Nord pour prendre la route en direction de Rimplas. J'ai passé la nuit à me projeter dans l'Op que nous allions vivre au lieu de dormir mais j'ai hâte d'y être. Tout le monde est au rendez-vous, les véhicules démarrent.
Il est 22h lorsque nous nous arretons pour préparer notre insertion. Nous nous équipons, nous étudions rapidement la carte afin de positionner les sections et trouver un point de regroupement. En effet nous sommes quasi-sûrs qu'un ennemi nous suivra depuis Rimplas pour informer sa base de notre progression. Le temps de faire une pause et le premier groupe part déjà. La pression monte. 10 minutes après le second... à 23h toutes les sections sont en position à Rimplas.
Strike Blood, Head et moi même sortons du véhicule et procédons aux dernières vérifications. Lorsque tout à coup, des voix, des bruits pas viennent vers nous. Vite, on file dernière les voitures pour se planquer. Ils approchent de plus en plus, apparement la voiture garée devant le notre est la leur. Fausse alerte, ce sont des gardes forestiers... Strike se lève et les rassure sur notre présence et notre accoutrement. nous pouvons commencer notre progression. le rythme est soutenu et dès les premières secondes je sens que ce soir là, que je ne serai pas capable de fournir un tel effort sur la durée. A chaque approche de véhicule nous sautons dans le fossé du bord de route, en s'accrochant tant bien que mal, en essayant de ne pas se faire mal, en s'aidant pour remonter et repartir sur la route. Dans la précipitation, Blood, notre otage, se tord cheville fragilisée, et se prend un coup sur la cuisse. Rien de grave nous assure-t-elle. Nous continuons la progression. Après 4 jetés dans le fossés, 3 fausses alertes et une cheville en moins, nous arrivons au chemin qui nous mène directement au point de regroupement. Tout le monde est là, nous vérifions notre trajectoire à la lumières de nos lampes, nous effectuons une petite pause, et nous nous mettons en marche.
La nuit est claire, nous pouvons marcher sans éclairage, une chance. Apparement, personne ne nous suit, c'est même un peu trop facile. Mais la difficulté viendra d'ailleurs... Rimplas se situe à environ 1000 mètres d'altitude. Hors notre première étape sera la Cime du Ballour, située à 1900 mètres d'altitude. 900 mètres de dénivelé ce n'est rien. Sauf qu'il fait nuit, que chacun d'entre nous porte entre 15 et 25 kilos de matériel, et surtout, que ces 900 mètres se graviront sur seulement 3km. Ce qui correspond déjà à une pente sportive.
Le groupe est alors scindé en deux. Les plus rapides et les plus lents. Nous restons en contact par radio et nous nous attendons régulièrement les uns les autres. Les responsables de la topo font du bon travail, nous suivons le bon chemin. Malheureusement nous sommes déjà au beau milieu de la nuit, nous comprenons dors et déjà que nous n'arriverons jamais dans les délais prevus. Et à ce moment là, le drame commence. J'ai terriblement mal au ventre, envie de vomir, mon coeur bat dans mes tempes, mes mains et mon visage sont moites. Mon sac me cisaille les épaules que j'ai eu la bonne idée de ne pas couvrir... Je me revois grignoter de petites barres lion et autres aliments sucrés inlassablement, tout en buvant. Sans succès. La pause que nous faisons s'impose. On se retaure avec quelques friandises et encouragements sur un petit plateau dégagé, au loin on apperçoit les petites lumières de Valdeblore, c'est notre objectif, nous en sommes encore loin. Il est déjà temps de repartir. Head plutôt en forme, marque un rythme de marche soutenu et s'eloigne peu à peu de notre groupe alpha pour cheminer avec les plus rapides. Nous nous engagons dans l'enfer d'une foret sombre au chemin sinueux et mal tracé, nous piétinons, manquons de nous tromper de direction et perdons le visuel avec le reste du groupe. j'ai de plus en mal à l'aine, et dans cette ascension la douleur devient insupportable. Ce n'est pas très élogieux, mais à partir de ce moment et jusqu'au lever du soleil, j'ai envie de pleurer, d'abandonner et de ne plus faire un pas. Si il y a bien un moment dur que je dois retenir de ce week-end, c'est celui là, ces quelques heures passés à gravir cette satanée Cîme du Ballour.
Nous n'avions pas mesuré l'ampleur qu'allait prendre cette ascension dans notre périple. Nous ne nous attendions pas à une telle difficulté. Progressivement, le chemin est apparu plus clair, nous avons vu au loin les montagnes se dessiner dans le ciel à présent bleuté. Le jour était en train de se lever. Il devait être entre 5 et 6 heures du matin, nous marchions depuis 7 heures. Les arbres se clairsemaient, la végétation changait pas à pas, nous étions en train d'approcher de notre premier objectif, la cîme n'etait plus qu'à une centaine de mètres. Voilà au loin le gros du groupe, déjà en train de poser les sacs à dos pour se préparer à une longue et douce pause. Nous arrivons à notre tour, les mines pâles, le visage fatigué. On fait peine à voir. Les premiers rayons du soleil glissent sur la colline verdoyante. C'est le genre de moment sacré, où le dos calé contre son sac à dos, emmitouflé dans un enorme blouson, on apprécie une heure de repos bien méritée.
C'est dans un éclat de rire, et après une course folle de Vinpaco les fesses à l'air, que nous repartons pour atteindre notre deuxième objectif, l'endroit où nous ferons notre bivouac. Le plus dur est derrière. A présent le jour est levé, et le dénivelé qu'il nous reste à faire est minime. Malgré les conditions devenues meilleures, Roog décide de nous quitter pour des raisons personnelles. Il continue néanmoins la route avec nous jusqu'au point de bivouac. Nous progressons sur les flancs du Collet de la Sagne accompagnés par un climat idéal. Nous ne marchons pas longtemps avant de voir au loin les pentes sud rocailleuses menant au Mont Giraud, bordés d'une grande étendue de prés verts formant quelques cuvettes par ci par là. La forme et le moral sont revenus. Notre section d'infiltration nous informe que la voie est libre pour bivouaquer dans les parages. Après une pause dans les prés, un séchage de pieds et de tee shirt en règle, nous nous mettons en quête d'un petit coin approprié pour bivouaquer. C'est alors que Head décide également d'arrêter la mission, souffrant du poids et du cisaillement de son sac dos, fatigué, il abandonne.
Nous profitons d'un repas chaud. Je découvre grâce à Youri et Choulanka, les pâtes en sauce lyophilisées. Avec lesquelles je me suis régalée, merci Youri, je renouvellerai l'expérience! Strike nous fait profiter d'un petit jeu d'enigmes qui s'avère être le bienvenu pour se détendre suite aux difficultés rencontrées. Après le repas, chacun installe sa bâche sous une chaleur qui se fait de plus en plus lourde à l'approche de midi. Des binômes se relaients pour monter la garde en amont de notre cuvette. Nous essayons de trouver le sommeil mais sommes assaillis par les moustiques et autres insectes volants, obligés de s'enrouler dans des tissus qui nous tiennent encore plus chaud... Impossible de dormir. J'entends ronfler Vinpaco à côté de moi, les autres semblent tranquillement installés sous leurs abris, bref je commence à être agacée par tous ces insectes qui se posent sur mes bras, je décide de m'éloigner jusqu'à trouver de l'ombre auprès d'un petit arbre. Je profite enfin pleinement d'être allongée au frais et je m'endors doucement...
A mon réveil un côté de mes lèvres a doublé de volume. Je redescends et me retrouve face à Od apparement lui aussi dévoré par les insectes. J'apprends que j'ai été portée disparue durant tout le temps de ma sieste... Une histoire de corbeaux qui tournent au dessus de mon cadavre, le crâne ouvert en deux sur un rocher... Ah li'magination fertile de notre lieutenant!
Roog et Head ne sont maintenant plus là, l'effectif restant se porte à 7 mercenaires. Nous sommes pour la plupart révéillés. A ce moment je décide de me mettre à l'abri de la chaleur sous ma bâche. Je l'installe donc avec les moyens du bord, 2 branches de sapin, sous l'oeil compatissant de Blood. Une seconde sieste s'impose.
Soudain branle-bas de combat, l'orage approche! Il sera sur nous d'ici 1h. Il faut tout plier en vitesse et filer à l'abri dans la bergerie de Las Planas. Le groupe a l'air tendu, y compris notre lieutenant. A cet instant je ne comprends pas la raison de cet empressement soudain. Effectivement l'orage arrive, mais rien ne nous menace outre-mesure. Arrivés à l'abri de la bergerie, le groupe fait un point topo, calcule rapidement notre itineraire et la distance que nous devons parcourir avant la tombée de la nuit. Il y a comme un nuage d'incompréhension qui s'abat sur nous tous. Les opinions divergent. Chacun essaie d'apporter sa contribution à l'élaboration d'un nouveau plan compte tenu du retard que nous avons sur notre timing prévu. Bien que Strike voudrait attendre le passage de l'orage, le groupe le convainc qu'il faut se remettre en route maintenant. Quelques goutellettes viennent rafraîchir l'atmosphère et nous repartons, emportés par l'envie de progresser un maximum avant le coucher du soleil. Le calme revient lorsque le groupe s'éclate à nouveau, le binôme Charlie en tête, suivis de près par la section Bravo et loin derière la section Alpha. D'ailleurs notre progression jusqu'à la cime du roc Adrecias se fait de façon particulièrement détendue. Nous prenons l'habitude de ne rencontrer aucune résistance, nous n'avons plus aucun soupçon quant à l'eventuelle mise en place d'un effectif de surveillance côté Forces Speciales. A ce moment là pour ma part, je fais une randonnée. Je ne suis plus dans l'action.
Samedi 3 Juillet, il est environ 20h. Le ciel est encore très clair. Nous arrivons près de l'arrête nord-sud du roc Adrecias, nous sommes à l'abri d'un éventuel observateur ennemi en position sur la colline d'en face. Notre bînome de reconnaissance fait le point sur le chemin restant à parcourir. Ils ont un visuel sur des bâtiments au loin, on peut se faire une idée approximative du temps qu'il nous faudra pour rejoindre les Vacheries des Millefonts, l'endroit où nous sommes quasi-sûrs de trouver une première opposition. la motivation revient. Nous profitons des dernières lueurs du jour pour nous restaurer, partager au calme un dernier repas, et même une bougie et un blouson... pour un Sixpack qui a le moral dans les chaussettes. Je garde un très bon souvenir de ce moment ensemble. Probablement le meilleur du week-end.
La question est maintenant la suivante : Comment allons nous nous organiser pour passer cette frontière? chacun y va de son idée, de sa proposition et je ne sais plus qui propose ce plan un peu fou, de faire passer une fois aux vacheries, l'otage et le médic ensemble par le sentier en aval, pendant que les autres font diversion, mais ce sera le plan retenu. Un peu dingue, un peu à l'arrache, forcément, je trépigne d'impatience. Et chacun a l'air emballé par le projet, tout le monde y croit, tout le monde a retrouvé une bonne energie, l'équipe semble plus soudée que jamais a cet instant précis. J'ai l'impression que je ne vais plus jamais les revoir une fois que nous aurons passé les Vacheries, et que nous partirons à travers les bois avec Blood, les laissant seuls, assurer notre course vers la victoire au péril de leurs vies... Aaah... Je garde avec moi le petit briquet que Sixpack m'a donné juste avant de partir. Pris dans le jeu, l'immersion est totale.
22h. Les dernières clartés du jour ont laissé à présent place un ciel sombre. Notre progression se fera sans lumières sauf cas de force majeur. A l'approche de la première pente rocailleuse l'enthousiasme retombe un peu, le pas se fait incertain, on a vraiment une mauvaise visibilité, on dérape, on glisse, pourvu qu'on ne fasse pas trop de bruit et que personne ne finisse avec une entorse. Nous suivons un chemin hasardeux, mal délimité, au loin on entend tinter des cloches. C'est un troupeau de moutons... Qui dit moutons dit chiens, qui dit chien dit aboiement, qui dit aboiement dit bruit qui pourrait nous faire reperer. Et ça ne loupe pas, à notre arrivée près de l'enclos, les moutons se mettent à courir dans tous les sens dans un grondement qui brise le silence de la nuit. Des chiens aboient, pourvu que l'enclos soit bien fermé. A cet instant je sens un poids immense s'abattre sur mes épaules, le poids du désespoir. Après tout ce que l'on a fait pour progresser le plus silencieusement possible, pour ne pas se faire repérer, voilà que la nature nous joue des tours. Si l'ennemi est suffisement proche de cette zone, il aura compris avec tout ce vacarme, que notre groupe n'était plus très loin... Mais mieux vaut ne pas se focaliser sur ce malencontreux evenement, et poursuivre notre route en faisant de notre mieux pour ne pas se faire repérer.
A présent à une centaine de mètres du troupeau, nous tombons nez à nez avec un amas de rochers qui n'ont rien d'un chemin de montagne. Il faut se rendre à l'évidence, nous avons fait une erreur quelque part, nous voilà égarés. Les responsables de la topo font le point, analysent la situation, envoient des éclaireurs et décident que nous allons passer en force plein nord, traverser un fouillis de ronces et de pierres dans une pente douce, nous menant logiquement au sentier perdu. Nous entamons une phase d'escalade dans la nuit la plus totale. Passé le premier passage difficile, deux éclaireurs partent en tête. Bonne nouvelle, ils ont retrouvé un semblant de sentier. Nous ne sommes plus très loin. Nous traversons une vingtaine de mètres de rochers assez pentus avant de nous retrouver sur le "chemin"... enfin si l'on peut appeler ainsi cet espèce de tracé sinueux à flanc de montagne quasi-inexistant, la carte nous indiquait que le sentier était rudimentaire mais à ce point... La pente est ardue, un faux pas et c'est la chute. D'ailleurs nous trébuchons tous les uns après les autres, inexorablement. A tel point que l'on se demande si nous avons emprunté le bon chemin. Les points topo s'enchainent à la lumière des lampes rouges, sans grand succès, nous devons continuer pour arriver sur l'autre versan et espérer avoir un visuel sur quelque chose de rassurant. S'en suit l'épisode de l'allumage des lampes pour des raisons de sécurité, il fait très sombre et nos pieds se tordent régulièrement. Je peste contre cette initiative, estimant que la lumière nous fera remarquer à coup sûr et que dans ce cas autant progresser de jour. Je décide de bouder dans ma bulle.
A ce moment là, et pour la seconde fois de la mission, notre groupe se scinde. D'une part il y a ceux qui malgré la nuit, malgré la fatigue et malgré le fait qu'on ne soit même plus sûrs de notre chemin, veulent continuer jusqu'à l'aube, progresser, avancer un maximum pour rattrapper le temps perdu et tenter le tout pour le tout. De l'autre il y a ceux qui préfèrent s'arreter là et attendre les premières lueurs du jour pour reprendre la route. Les premiers tentent de pousser le groupe au maximum, jusqu'au moment où ca craque, Strike et Blood n'avanceront pas d'un mètre de plus, ça en est assez. Vinpaco et Odn font rapidement le tour de l'endroit où nous sommes pour évaluer la situation, ils repèrent une tâche grise dans la verte, cela pourrait bien être un des bâtiment des Vacheries des Millefonts. Un peu moins d'un km à vol d'oiseau nous séparent d'elles. L'endroit où nous venons de nous arrêter est une saleté de pente boisée, il n'y a de plat nulle part, dormir la dessus est proche de l'impossible. Nous passons tous une mauvaise nuit. Après une heure passé en boule dans un blouson, on se rend compte que le sac de couchage est indispensable. Mais une fois dedans on se transforme en véritable savonette... 3h30 mon téléphone sonne, me reveille, Vinpaco aussi, je décroche. C'est Kostolom, Mika et Neji qui ont rien d'autre à foutre. Ca a l'air d'être le club mediterranée coté FS... A l'opposé de ce que nous vivons.
Dimanche 4 Juillet, 5h30. Ca y'est il fait jour. Que c'est bon de revoir toutes ces couleurs autour de soi. Préparation express, la moitié du groupe est déjà prête à repartir. Dans l'empressement je fait tomber mon tapis de sol qui roule et roule.. et roule dans cette pente infernale jusqu'à sortir de mon champ de vision. Quelle bonne surprise de voir Odn revenir avec quelques minutes après! C'est, malgré la sission du groupe la veille, avec le sourire que nous nous retrouvons. Le chemin n'était pas bien loin, il suffisait d'y voir plus clair... Dire que nous avons faillit grimper tout droit vers le mont Giraud quelques heures auparavant, nous aurions marché longtemps avant de retrouver un sentier par là haut. Nous voici donc trotti-trottant, en route vers les vacheries qui ne sont plus très loin. Les groupes Charlie et Bravo sont en tête, ils foncent droit sur les bâtisses laissant le groupe Alpha en arrière à la merci de tout ennemi posté de part et d'autre du sentier. Quand aux deux groupes ils s'engagent à 4 dans une zone où nous nous attendons à rencontrer une grosse partie du groupe FS, car cet endroit est pour nous un passage obligatoire. Je ne peux m'empêcher d'éveiller leur méfiance par une communication radio puis de retenir mon souffle lorsque je les vois au loin mettre un premier pied au milieu des bergeries. Curieusement... pas de coups de feu... tout semble calme. Une embuscade? Ils attendent peut être que l'on soit tous à l'intérieur pour refermer le piège sur nous. Mais non, tout à l'air de bien se passer. Le groupe Alpha arrive enfin sur zone. Rapide verification. RAS. A ce moment là je ne sais quel sentiment domine le plus, le soulagement ou la décéption de constater qu'aucune opposition n'a été mise en place par l'ennemi. Nous venons de parcourir 12 kilomètres, avons marché de jour, de nuit, nous avons fait 2 bivouacs... sans aucune opposition. Aucune. Zéro. Pas même un groupe d'observateurs envoyé par l'état major, pas même quelqu'un qui nous aurait suivi, pas même un groupe posté à LA zone phare du parcours, pas même l'ombre d'une menace ennemie. Nous avons peine à croire qu'ils soient tous regroupés entre le parking et leur propre campement... Nous allons donc prendre tous ensemble le chemin que nous devions emprunter à deux Blood et moi tandis que les autres auraient fait diversion. Nous nous restaurons rapidement et continuons notre progression. Nous passons une rivière qui a eu le don de m'effrayer. Je m'imaginais déjà râter mon saut avec tout mon équipement sur le dos, tomber dans l'eau, être emportée par le courant... Mais tout alla pour le mieux! Arrivés de l'autre côté de la rivière, nous réalisons que le groupe est à nouveau scindé en deux. Bravo et Charlie ont disparu dans la forêt où grimpe un chemin des plus pentus. C'est là que le drame à commencé...
J'attends notre otage dont les pieds n'en peuvent plus dans ses chaussures Quechua inadaptées. A l'approche ce cet énième grimpette à effectuer, elle lève les yeux et me dit : "Non je ne peux plus, j'arrête là." Je la laisse rejoindre Strike pour qu'ils en discutent tous les deux, mais je sais au fond de moi que lorsque Blood prend une décision, celle ci est ferme et irrevocable... Après délibération je m'approche d'eux, Strike me dit qu'il faut prévenir le reste du groupe, déjà très avancé et hors contact radio, qu'ils vont passer tous les deux par la route en terre battue située a deux pas des Vacheries, et que les deux groupes se retrouveront ainsi dès que la route et le sentier seront suffisement proche pour se regrouper. Je fais l'émissaire car Strike et Blood n'ont plus de quoi communiquer à distance, et le signal radio est trop brouillé pour être compréhensif (hormis mon oublie de monter le son au début : ) ). Je cours d'un groupe à l'autre dans cette montée épuisante afin de transmettre de précieuses informations. Pour moi la situation est simple : Strike et Blood vont rentrer tout simplement au camp par une voie plus facile, la mission est terminée. Dans mon esprit, progresser sur la route en terre battue est synonyme d'échec, car des véhicules ennemis y patrouillent régulièrement. Par ailleurs je suis restée sur les derniers mots que j'ai entendu de la bouche de notre otage. Je n'ai pas pensé une seule seconde qu'il pouvait y avoir un autre sens à ce que m'avait dit Strike ensuite. Le message que je transmets au groupe une fois avec eux est le suivant : "L'otage arrête là, il ne peut plus avancer, ils vont passer par la route en terre battue, nous devons continuer sur ce sentier jusqu'à pouvoir les rejoindre sur la route." Vinpaco, Odn, Tombstone et Sixpack sont assis dans l'herbe et entament une pause goûter, Vince me montre du doigt la frontière que l'on voit à présent, notre objectif ultime, si proche de nous. La décéption de s'arreter si près du but est rapidement remplacée par une ambiance bon enfant autour d'un peu de café et des restes alimentaires de Vinpaco. Nous avons vécu une belle aventure.
Mais il ne faut pas traîner, Strike et Blood vont nous attendre. Je ne sais plus à quel moment je me suis mise à douter de la validité du message que j'avais transmis, ou de la façon dont je l'avais compris, mais toujours est il que j'ai douté. Et que nous avons décidé de téléphoner à Strike pour avoir confirmation. J'ai réussi à l'avoir en ligne et il nous a été confirmé qu'ils étaient en progression sur la route en terre battue et que l'on devait se retrouver sur cette même route. Et à la fin de cette communication, je transmets au reste du groupe que non, il n'y a pas fin de partie. Surprise, agaçement, chacun y va de sa réflexion. Difficile de se remettre dans le bain après s'être fait à l'idée que la mission était échouée. Tant pis nous repartons. Je suis dans mes petits souliers. Nous progressons lorsqu'au loin sur la route en terre battue, arrive une jeep militaire ennemie. Nous nous postons où nous pouvons, nous sommes à découverts, quasi-sûrs d'avoir été repérés. Nous ne distinguons pas le nombre de personne présentes dans le véhicule. Une fois la menace écartée, nous continuons notre chemin et, passé sur la colline d'en face nous faisons une petite pause. Pause qui nous permet de constater que derrière nous, surplombant la pente sur laquelle nous sommes engagés, est posté un individu dont la silhouette se dessine en ombre chinoise dans le ciel au sommet de la colline. Il semble nous observer depuis quelques temps avec une paire de jumelles ou une lunette. En tout cas il en est position braqué sur nous, heureusement beaucoup trop loin pour présenter une quelconque menace. Dans la nonchalance générale dont nous faisons preuve à cet instant, comme pour nous moquer du fait qu'il nous épie, et du fait que là où il est nous l'avons très bien vu, nous lui faisons de grands signes goguenards. Nous n'avons pas rejoins la route comme prévu là où c'était possible. Dans l'idée générale cette information est devenue : Nous progressons jusqu'au croisement sentier-route pour retrouver Strike et Blood à cet endroit. C'est ce que nous faisons. Passé de l'autre côté de la colline, nous avons enfin un visuel sur la parking où aboutissait notre chemin, et donc le lieu supposé de notre regroupement. Cela nous met un peu de baume au coeur. Mais ce n'est que de courte durée. Au loin on entend un bruit de moteur, celui de la Jeep qui nous apparait à présent sur le chemin du retour. A son bord nous distinguons des silhouettes. Trois personnes au total... Qui sont elles? Nous ouvrons grands les yeux et là, hallucination collective, La voix de Vinpaco retentit : "C'est Strike et Blood! Bordel, c'est Strike et Blood qui se font raccompagner par One Shot!". Et tout le monde de répliquer : "Mais oui merde c'est eux! La partie est terminée!"...
9h. Nous sommes désabusés, déçus que ça se termine comme ça... C'est la réplique ballante que l'on regagne la parking où de nombreux randonneurs du dimanche nous observent d'un oeil curieux. Nous décidons de faire une pause à l'ombre pour faire le point, on se demande pourquoi Strike ne nous a pas contacté pour nous dire qu'il y avait fin de partie, on a pas envie de marcher on aimerait bien que quelqu'un vienne prendre nos sac. Je passe donc un coup de fil. Je tombe sur Ghost qui a l'air tout étonné de m'avoir en ligne et qui me dit qu'il n'a pas encore été averti de cette fin de partie, sa radio n'etant pas operationelle. Bon. Ne pouvant joindre personne d'autre, nous décidons d'avancer dans l'espoir de croiser quelqu'un. C'est alors que, tandis qu'une partie du groupe progresse devant, on entends des tirs. Tiens? Nous avançons et c'est alors que nous sommes braqués par Widows Maker, un Awacs. Au même moment mon téléphone sonne, c'est Strike. Tandis que Widows Maker s'avance vers nous d'une façon hostile, j'entends Strike me demander : "Vous êtes où?"... Comment ça on est où? Au même moment la voix de Widows Maker nous lance un : "Vous êtes tous les 3 out!". Ben voyons... J'entends Strike me dire : "Mais vous êtes où! Y'a pas fin de partie là! On arrive!"... Ah. Je me dois de raccrocher. Nous nous estimons out par dépit, sans commencer à tergiverser sur le fait que le out à la voix n'existe pas, et encore moins sur trois personnes d'un coup. Toute façon nous n'avons plus aucune envie de continuer à jouer. Nous croisons la jeep de One Shot, il nous allège de notre matériel et nous nous rendons au campement ennemi la mine abbattue.
Nous n'avons jamais vu Strike et Blood dans une jeep. C'était une hallucination collective. Blood n'a jamais décidé d'abandonner, elle et Strike ont simplement décidé de passer par la route. Nous n'aurions jamais du progresser jusqu'au parking mais bien les attendre sur la route elle même dès qu'on en avait la possibilité, c'est à dire peu de temps après notre pause goûter. ..
Mon erreur de transmission radio me ronge de l'intérieur, je suis dans une colère noire, je ne tolère pas d'avoir echouée sur une mission aussi simple. L'arrivée au campement se fait sans le sourire. On les voit tous version colonie de vacances, le feu de la veille qui avait accueilli les saucisses, les voitures garées un peu partout, une ambiance très détente et surtout tout le monde là. Tout le monde. Régulièrement un petit groupe de gars part en eclaireur avec un véhicule, va jusqu'au parking et revient au camp... La décéption est encore plus grande de voir si peu d'organisation coté FS. Nous aurions pu réussir cette mission sans aucun problème si nous ne nous étions pas séparés. Mais rien n'est joué... Strike et Blood sont encore en jeu, ils vont faire le maximum pour passer la frontière. On a encore de l'espoir. Il n'est que 10h, il leur reste 2 heures pour aller du parking à la frontière sans se faire chopper. C'est jouable. Mais tout à coup, dans un semblant d'agitation, un véhicule repart sur la route. Une poignée de minutes plus tard voilà l'otage et notre lieutenant qui nous reviennent dans la jeep de One Shot.
Alors que s'est il passé? Hé bien Lurp a mis une balle dans la tête du général des renseignements, il a executé Blood.
Surprise... Nous apprenons que, côté FS, Ils ont décidé de créer un groupe de la DGSE dont l'objectif n'etait pas de rammener l'otage vivant, mais d'empêcher son passage à tout prix, quitte à l'executer. Dire que nous avions envisagé de passer en force avec l'otage en guise de bouclier si notre plan tournait mal... On aurait eu l'air malin. Après un rapide debriefing à vif entre les uns et les autres, un groupe véhiculé est envoyé sur Rimplas récuperer les voitures. A leur retour nous décollons pour Nice, très déçu de l'issue de cette mission, mais fiers de se que nous avons accompli durant ces 2 jours.
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Bilan de cette OP
Points Positifs :
- Excellent exercice de dépassement de soi.
- Une très belle progression jusqu'aux Vacheries des Millefonts.
- Deux bivouacs marquants, dans des conditions terribles : Chaleur, insectes d'une part... Froid et sol inapproprié de l'autre.
- Atteinte du summum de l'immersion à de nombreux moments.
- Appréciation du comportement de ses coéquipiers dans la difficulté -> Meileure connaissance de l'autre.
- Arrivée du groupe proche de la frontière dans les temps malgré tout.
Points Négatifs :
- Mauvaise appréciation temps/distance -> Incapacité du groupe à respecter les étapes-horaires sur l'ensemble du parcours.
- Subissement dans l'effort, perte de moral -> Abandon de deux de nos coéquipiers.
- Perte d'autorité du leader -> Désaccord, doute, déstabilisation -> Manque de cohésion entre les groupes, manque d'efficacité.
- Changement important non communiqué des objectifs et de la constitution du groupe ennemi.
- Manque d'écoute et de rigueur dans la transmission, la compréhension et l'execution des ordres.
- Manque de moyens de communication opérationnels.
Je garde un excellent souvenir de cette laborieuse OP Sledge Hammer. J'en ai bavé à de nombreux moments, mais pour d'excellentes causes. Celle d'apprendre à aller au delà de ses possibilités, apprendre à contrôler ses émotions, garder la tête froide, être sûr avant de dire ou d'agir. C'est le genre d'op qui, en plus de nous plonger au coeur de la difficulté que peut endurer un groupe de soldats en milieu hostile, nous fait apprendre beaucoup sur soi même, et nous fait grandir.
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Dans l'attente de la prochaine...
Dyn'.
Dynamite- [Recondo Veteran] Sergeant
Re: OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
Hé bé ma chère Dyn!
Quel plaisir de te lire. Non vraiment!
Certes, les discussions au sujet de cette OP ont été nombreuses et d'une utilité très variable mais j'avoue que tu nous as fait un superbe travail de scribe sur le coup.
Je crois qu'il y a une ou deux inepties chronologiques mais rien de bien grave.
En tout cas, merci pour le temps que tu as dû investir dans ce debrief.
Quel plaisir de te lire. Non vraiment!
Certes, les discussions au sujet de cette OP ont été nombreuses et d'une utilité très variable mais j'avoue que tu nous as fait un superbe travail de scribe sur le coup.
Je crois qu'il y a une ou deux inepties chronologiques mais rien de bien grave.
En tout cas, merci pour le temps que tu as dû investir dans ce debrief.
oDn- [Sqvad] Sergeant
Re: OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
J'avoue qu'à des moments j'ai eu des doutes sur ce qui est arrivé avant ou après tel evenement
Mais si ce n'est rien de méchant alors ça va!
Je me suis sentie frustrée cet été, de ne pas pouvoir faire un feedback ecrit sur cette OP d'envergure!
Il fallait que ce se soit fait Merci en tout cas, j'ai pris plaisir à l'écrire!
Mais si ce n'est rien de méchant alors ça va!
Je me suis sentie frustrée cet été, de ne pas pouvoir faire un feedback ecrit sur cette OP d'envergure!
Il fallait que ce se soit fait Merci en tout cas, j'ai pris plaisir à l'écrire!
Dynamite- [Recondo Veteran] Sergeant
Re: OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
Comme on dit: Mieux vaut tard que jamais!
Brad- FREELANCER
Re: OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
Énorme... très beau récit, je me suis replongé à fond dans ces 2 jours intenses ! Merci Dyn, d'avoir pris du temps pour nous faire revivre ça !
Re: OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
Sympa ce petit résumé... et il y a plus qu'une ou deux "inepties", parfois même des créations de ton esprit, c'est assez marrant.
Le principal est plutôt bien retranscrit, félicitation dyn' !
Le principal est plutôt bien retranscrit, félicitation dyn' !
Blood- [Sqvad] Förvaltare
Re: OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
Blood a écrit:Sympa ce petit résumé... et il y a plus qu'une ou deux "inepties", parfois même des créations de ton esprit, c'est assez marrant.
Le principal est plutôt bien retranscrit, félicitation dyn' !
Hum... Du coup, tu attises ma curiosité Blood! Tu peux être plus explicite?
oDn- [Sqvad] Sergeant
Re: OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
Voici une miette... ben vouais il est un peu tard et veux faire dodo.
L'anecdote est exacte mais Head n'était pas avec nous, ce dernier a effectué sa progression jusqu'au point de RDV avec Roog...
Voilà des trucs du genre rien de bien méchant.
dyn a écrit:Strike Blood, Head et moi même sortons du véhicule et procédons aux dernières vérifications. Lorsque tout à coup, des voix, des bruits pas viennent vers nous. Vite, on file dernière les voitures pour se planquer. Ils approchent de plus en plus, apparement la voiture garée devant le notre est la leur. Fausse alerte, ce sont des gardes forestiers...
L'anecdote est exacte mais Head n'était pas avec nous, ce dernier a effectué sa progression jusqu'au point de RDV avec Roog...
Voilà des trucs du genre rien de bien méchant.
Blood- [Sqvad] Förvaltare
Re: OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
et aussi :
C'est Lurp qui nous racompagne au camp, One Shot étant déjà redescendu à St Dalmas pour réparer la Willis
C'est Lurp qui nous racompagne au camp, One Shot étant déjà redescendu à St Dalmas pour réparer la Willis
Re: OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
...ben vu l'heure matinale...j'ai pas lu hein...
je le ferais par contre promis...en plus si t'ecris un tas de connerie!
j'adore le "...subissement..."
je le ferais par contre promis...en plus si t'ecris un tas de connerie!
j'adore le "...subissement..."
Vinpaco- [Sqvad] Sergeant
Re: OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
Blood a écrit:
L'anecdote est exacte mais Head n'était pas avec nous, ce dernier a effectué sa progression jusqu'au point de RDV avec Roog...
Mais zuteuh! Alors qui c'etait la personne avec nous sur la photo du III? j'avais vraiment le souvenir de Head... Par contre je me souviens plus du tout pour Lurp/One Shot
Attention Vince j'ai vérifié! Subissement existe même si c'est très peu employé... Enfin mes sources ne sont pas très sûres, un peu comme ma mémoire...
Dynamite- [Recondo Veteran] Sergeant
Re: OP SLEDGE HAMMER /// du 02/07 20h -> 04/07/2010 /// VALDEBLORE
Dynamite a écrit:
...Enfin mes sources ne sont pas très sûres, un peu comme ma mémoire...
Dyn qui prend un coup de vieux
Brad- FREELANCER
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